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Le blog de Laura

30 décembre 2010

La puissance de la visualisation.

Tous pouvons visualiser notre futur. La réalité est ce qu'on percevait avec nos sens. Il n'importe pas si quelque chose est réel ou non, si on le voit et on croit en cette chose, alors il sera réel. Matérialiser quelque chose qui n'existe pas et le tourne réel, ça c'est la puissance de la visualisation.

Pour visualiser le détail est important, on doit voir tous les détails de ce qu'on veut. Les sens sont fondamentaux, pouvoir percevoir les odeurs, les textures, les goûts ... visualiser tous dans notre esprit jusqu'à ce qu'il parait réel. Et quand la réalitée est très différente de ce qu'on veut, on doit nous concentre plus encore.

Le désir est comme un film qui se projet dans notre esprit. Le désir est très puissant et sagace, il trouve toujours la manière de se matérialiser.

Notre réalitée d'aujourd'hui est construit par nos pensées d'hier. Tout ce qu'on vivait, tout ce qu'on est, tout ce qu'on a, il existe parce qu'on l'a pensé avant.

On doit accepter nos responsabilités dans ce qu'on vivait, parce que notre réalité est la matérialisation de ce qu'on a voulu quelque foi. Le désir est une force mystérieuse. Le désir est énergie en mouvement. Notre désir ou le désir d'autre personne nous engage à prendre décisions. Le désir est un aimant, on attire ce qu'on visualise, les choses bons et les choses males. Parce que personne arrive pas dans un lieu s'il ne l'a désiré pas avant.

 

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29 décembre 2010

Les quatre éléments.

 

 

On doit soigner les quatre elements de la nature.

On doit soigner le foi, l'eau, la terre et l'air.

Mais qu'est que ce soigner les quatre elements?

Pour nous, l'eau est indispensable, c'est un recours non renouvelable. Comme les autres trois éléments.

Il parait qu'on peut vivre sans feu, mais le feu est énergie, et le monde se mouvait avec énergie.

Le problème né quand il y a trop de feu. Si on le laisse faire, la terre et l'air sepoullerent, et ça fait que tout se déséquilibrait. Il se produirait inondations, changements atmospheriques, et on restera sans eau, sans feu, sans terre que cultiver et sans air propre pour respirer. Mais si on l'éteint avec eau, on restera sans eau...et sans feu.

Qu'est-ce que c'est la  meilleure manière  pour soigner les quatre elements?

  On pourrait éteindre le feu et on ne  poullera pas les autres éléments. Mais alors on restera sans médecine, sans repas, sans industrie...

Soigner les quatre éléments n’est pas facile. On vivait comme si tout ce que nous entoure soient éternue, on n'a pas la conscience de qu'on doit soigner les cadeaux de la vie, on utilise les choses comme s'ils soient éternués, comme s'il y avait autre planète de rechange.

Et avec l'eau, par exemple, qu'est-ce qu'on doit faire? 

Le monde est divisé en zones de sécheresse et zones d'inondations. On a perdu le point moyen, l'équilibre. Il est clair que quelque chose marche mal.

Et avec l'air ?

Peu air nous asphyxie, beaucoup d'air nous fait nous marée. L'air corrompu nous tue d'à peu. Dans dernières années nous avons contaminé l’air, et maintenant nous ne pouvons pas respirer bien.

Et qui passe avec le feu ?

Le feu brûle, mais sans feu nous mourons. Après la révolution industrielle le feu a été le grand élément.

Nous avons oublié qu'il y a quatre éléments, et qu'abuser de l'un d'eux il altère l'équilibre. La clé pour soigner les quatre éléments et, avec cela, toute la planète est l'équilibre

Mais comme l'équilibre réussit-il ? Qui est la solution ?

Je projette le problème. Tous nous sommes qui devons trouver une solution.



 

 

13 décembre 2010

Le mythe de la caverne de Platon.

"Maintenant représente toi de la façon que voici l'état de notre nature relativement à l'instruction et à l'ignorance. 
Figure toi des hommes dans une demeure souterraine, en forme de caverne, ayant sur toute sa largeur une entrée ouverte à la lumière; ces hommes sont là depuis leur enfance, les jambes et le cou enchainés, de sorte qu'ils ne peuvent ni bouger ni voir ailleurs que devant eux, la chaine les empéchant de tourner la tête; la lumière leur vient d'un feu allumé sur une hauteur, au loin derrière eux; entre le feu et les prisonniers passe une route élevée : 
imagine que le long de cette route est construit un petit mur, pareil aux cloisons que les montreurs de marionettes dressent devant eux et au dessus desquelles ils font voir leurs merveilles.
Figure toi maintenant le long de ce petit mur des hommes portant des objets de toute sorte, qui dépassent le mur, et des statuettes d'hommes et d'animaux, en pierre en bois et en toute espèce de matière; naturellement parmi ces porteurs, les uns parlent et les autres se taisent.

 

Voilà, s'écria Glaucon, un étrange tableau et d'étranges prisonniers.

Ils nous ressemblent; et d'abord, penses-tu que dans une telle situation ils aient jamais vu autre chose d'eux mêmes et de leurs voisins que les ombres projetées par le feu sur la paroi de la caverne qui leur fait face ?

 

Et comment, observa Glaucon, s'ils sont forcées de rester la tête immobile durant toute leur vie ?

Et pour les objets qui défilent, n'en est-il pas de même ?

 

Sans contredit.

Si donc ils pouvaient s'entretenir ensemble ne penses-tu pas qu'ils prendraient pour des objets réels les ombres qu'ils verraient ?

 

Il y a nécessité.

Et si la paroi du fond de la prison avait un écho, chaque fois que l'un des porteurs parlerait, croiraient-ils entendre autre chose que l'ombre qui passerait devant eux ?

 

Non, par Zeus !

Assurément de tels hommes n'attribueront de réalité qu'aux ombres des objets fabriqués. Considère maintenant ce qui leur arrivera naturellement si on les délivre de leurs chaines et qu'on les guérisse de leur ignorance. Qu'on détache l'un de ces prisonniers, qu'on le force à se dresser immédiatement, à tourner le cou, à marcher, à lever les yeux vers la lumière : en faisant tous ces mouvements, il souffrira et l'éblouissement l'empêchera de distinguer ces objets dont tout à l'heure il voyait les ombres. Que crois-tu donc qu'il répondra si quelqu'un lui vient dire qu'il n'a vu jusqu'alors que de vains fantômes, mais qu'à présent, plus près de la réalité et tourné vers des objets plus réels, il voit plus juste ? Si, enfin, en lui montarnt chacune des choses qui passent, on l'oblige à force de questions, à dire ce que c'est ? Ne penses-tu pas qu'il sera embarrassé, et que les ombres qu'il voyait tout à l'heure lui paraitront plus vraies que les objets qu'on lui montre maintenant ?
Et si on le force à regarder la lumière elle même, ses yeux n'en seront-ils pas blessés? N'en fuira-t-il pas la vue pour retourner aux choses qu'il peut regarder, et ne croira-t-il pas que ces dernières sont réellement plus distinctes que celles qu'on lui montre?

 

Assurément !

Et si on l'arrache de sa caverne par force, qu'on lui fasse gravir la montée rude et escarpée, et qu'on ne le lâche pas avant de l'avoir trainé jusqu'à la lumière du soleil, ne souffrira-t-il pas vivement, et ne se plaindra-t-il pas de ces violences? Et lorsqu'il sera parvenu à la lumière, pourra-t-il, les yeux tout éblouis par son éclat, distinguer une seule des choses que maintenant nous appelons vraies ?

 

Il ne le pourra pas, du moins dès l'abord.

Il aura je pense besoin d'habitude pour voir les objets de la région supérieure. D'abord, ce seront les ombres qu'il distinguera le plus facilement, puis les images des hommes et des autres objets qui se reflètent dans les eaux, ensuite les objets eux-mêmes. Après celà, il pourra, affrontant la clarté des astres et de la lune, contempler plus facilement pendant la nuit les corps célestes et le ciel lui même, que pendant le jour le soleil et sa lumière.
A la fin j'imagine, ce sera le soleil - non ses vaines images réfléchies dans les eaux ou en quelque autre endroit - mais le soleil lui-même à sa vraie place, qu'il pourra voir et contempler tel qu'il est.

 

Nécessairement !

Après celà, il en viendra à conclure au sujet du soleil, que c'est lui qui fait les saisons et les années, qui gouverne tout dans le monde visible, et qui, d'une certaine manière est la cause de tout ce qu'il voyait avec ses compagnons dans la caverne. Or donc, se souvenant de sa première demeure, de la sagesse que l'on y professe, et de ceux qui furent ses compagnons de captivité, ne crois-tu pas qu'il se réjouira du changement et plaindra ces derniers ?

 

Si, certes.

Et s'ils se décernaient entre eux louanges et honneurs, s'ils avaient des récompenses pour celui qui saisissait de l'oeil le plus vif le passage des ombres, qui se rappelait le mieux celles qui avaient coutume de venir les premières ou les dernières, ou de marcher ensemble, et qui par là était le plus habile à deviner leur apparition, penses-tu que notre homme fût jaloux de ces distinctions, et qu'il portât envie à ceux qui, parmi les prisonniers, sont honorés et puissants? Ou bien comme ce héros d'Homère, ne préféra-t-il pas mille fois n'être qu'un valet de charrue, au service d'un pauvre laboureur, et souffrir tout au monde plutôt que de revenir à ses anciennes illusions de vivre comme il vivait ?

 

Je suis de ton avis, dit Glaucon, il préfèrera tout souffrir plutôt que de vivre de cette façon là.

Imagine encore que cet homme redescende dans la caverne et aille s'asseoir à son ancienne place : n'aura-t-il pas les yeux aveuglés par les ténèbres en venant brusquement du plein soleil? Et s'il lui faut entrer de nouveau en copétition, pour juger ces ombres, avec les prisonniers qui n'ont point quitté leurs chaines, dans le moment où sa vue est encore confuse et avant que ses yeux ne se soient remis (or l'accoutumance à l'obscurité demandera un temps assez long), n'apprêtera-t-il pas à rire à ses dépens, et ne diront-ils pas qu'étant allé là-haut, il en est revenu avec la vue ruinée, de sorte que ce n'est même pas la peine d'essayer d'y monter? Et si quelqu'un tente de les délier et de les conduire en haut, et qu'ils le puissent tenir en leurs mains et tuer, ne le tueront-ils pas ?

 

Sans aucun doute.

Maintenant, mon cher Glaucon, il faut appliquer point par point cette image à ce que nous avons dit plus haut, comparer le monde que nous découvre la vue au séjour de la prison et la lumière du feu qui l'éclaire, à la puissance du soleil. Quant à la montée dans la région supérieure et à la contemplation de ses objets, si tu la considères comme l'ascension de l'âme vers le lieu intelligible, tu ne te tromperas pas sur ma pensée, puisque aussi bien tu désires la connaitres. Dieu sait si elle est vraie. Pour moi, telle est mon opinion : dans le monde intelligible, l'idée du bien est perçue la dernière et avec peine, mais on ne la peut percevoir sans conclure qu'elle est la cause de tout ce qu'il y a de droit et de beau en toutes choses; qu'elle a, dans le monde visible, engendré la lumière et le souverain de la lumière; que dans le monde intelligible, c'est elle-même qui est souveraine et dispense la vérité et l'intelligence; et qu'il faut la voir pour se conduire avec sagesse dans la vie privée et dans la vie publique.

Je partage ton opinion, autant que je le puis.

Eh bien ! partage là encore sur ce point, et ne t'étonne pas que ceux qui se sont élevés à ces hauteurs ne veuillent plus s'occuper des affaires humaines, et que leurs âmes aspirent sans cesse à demeurer là-haut. Mais quoi, penses-tu qu'il soit étonnant qu'un homme qui passe des contemplations divines aux misérables choses humaines ait mauvaise grâce et paraisse tout à fait ridicule, lorsque, ayant encore la vue troublée et n'étant pas suffisamment accoutumé aux ténèbres environnantes, il est obligé d'entrer en dispute, devant les tribunaux ou ailleurs, sur des ombres de justice ou sur les images qui projettent ces ombres, et de combattre les interprétations qu'en donnent ceux qui n'ont jamais vu la justice elle même......"

Platon, "La République, livre VII".

 

Pour Platon la vie est une tromperie. Les personnes sommes comme captifs dans le fond d'une caverne souterraine, on est assis des dos à l'entrée, attachons de pieds et de mains, en regardant les ombres qui se projettent au fond de la grotte.

Comme dans un cinéma, la réalité passe par derrière nous et on voit seulement son reflet. Si on n'était pas capable de nous détacher et tourner la tête, on vivrait toujours dans une tromperie. Mais comme on est êtres rationnels,on peut traverser les apparences et trouver le connaissement de la réalité.

Mais quelque-fois les apparences sont trompeuses . Parce que les apparences sont comme les ombres des choses, ils nous disent comme ils sont, mais non qui sont. Il y a choses qui apparent autre chose différent. Il y a personnes qui pensent d'une forme et font les choses d'autre maniere: son ombre cache son identité réel.

 

Et les personnes qui apparentent être ce qu'ils ne sont pas, les personnes qui ne font pas le rôle qui les correspond, ils sont hypocrites. Parce que hypocrite vient du grece:les « hipocritai » fut les acteurs de théâtre.


 

12 décembre 2010

Yeux qui ne voient pas, coeur qui ne sent pas.

Quelque-fois on a peur d'ouvrir les yeux, on a peur de voir que tout a changé, que rien est plus comme on a pensé. Et ça c'est de ce qu'on a peur, des changements.

Comme un enfant qui ferme ses yeux en croyant que personne ne peut lui voir, quelque-fois on ferme notre yeux en pensant qu'ainsi les problèmes disparaîtront.

Mais toujours il y a quelqu'un qui nous fait ouvrir les yeux. On déteste et on aime cette personne. Parce qu'ouvre les yeux a une part bonne et une part mal.

Quand on ouvre nous yeux on découvrit la réalité. D'un part, le magie se perd, mais d'autre part, on sort de la tromperie. En ouvrant les yeux on voit les problèmes qui existent et on est responsable des solutions qu'on prend ou non.

Quand on ouvre les yeux on est propriétaire de nous-même, parce qu'on ne nous laisse pas aller par ce que les autres voient. On est qui voit et décide que faire avec ce qu'on voit.

Quelque-fois, ce qu'on doit voir est très horrible et on décide lui ignorer, vivre dans une petite boîte de cristal. Ouvrir les yeux est sortir de notre bulle de protection, comme quand un enfant sort du ventre de sa mère. On a peur de sortir de notre bulle parfaite. Le coeur nous fait mal et on reste sans air, noyés.

Ouvrir les yeux nous fait mal. Yeux qui ne voient pas, coeur qui ne sent pas. Ouvrir les yeux est comme sortir de l'obscurité, le lumière nous aveugle, comme sur la mythe de la caverne de Platon.

Mais pour que quelque chose change il y a que casser la bulle, il y a que sortir de la petite boîte.

Ouvrir les yeux et voir. Quoique ce qui ait que voir nous fait mal.

Il y a qu'ouvrir les yeux et faire quelque chose, en étant propriétaires des conséquences de nos actes.

11 décembre 2010

On doit apprendre à voir.

Depuis qu'on née on apprend à voir et à comprendre les choses d'une seule manière.

Pendant l'histoire de l'humanité, beaucoup de personnes ont été condamnés par fou pour penser de diffèrent manière, par voir les choses depuis autre point de voir.

Très souvent on écrit notre théories en nous fondant sur lequel qu'on voit. On compte sur notre yeux seulement et on oublie qu'on a beaucoup de sens.

On est habitué à accepter les choses comme ils sont, sans penser qu'il peut avoir quelque chose de différent. Mais quand on pense diffèrent, on trouve nouveaux solutions.

Quelque-fois, pour arriver à un lieu, on doit aller et retourner, faire beaucoup de retours.

On doit utiliser la pensée latérale.

Rien a pas une unique solution. Non tout ce qu'on voit avec les yeux est réel. On a quatre sens plus. Simplement on doit les utiliser, on doit apprendre à voir. On doit voir avec les autres sens.

Rien est pas ce qu'il paraît. Il n'existe pas seulement les choses qu'on voit avec les yeux.

Toujours il y a plus. Beaucoup de plus.

Simplement, il y a qu'apprendre à voir.


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11 décembre 2010

La guerre et le paix.

 

Quand est-ce que une guerre commence?

Tout commence avec une différence de critères, des personnes pensent une chose, autres personnes pensent autre chose; mais après, quelqu'un veut imposer son critère et maintenant les discussions commencent. 

Et tout à coup on stoppe de raisonner et les affrontéments commencent. Seulement il s'agit d'avoir quelque chose pour imposer notre critère et ça c'est tout. 

La guerre a commencé et, quand on a dans une guerre, on veut un peu de paix seulement. 

Alos on nous questionne comme est-ce qu'on est arrivé ici, comme c'est possible autant peine seulement parce que deux personnes ont différents critères. Et on rejete la faute sur ces deux personnes, sans comprendre que nous-même commençons beaucoup de petites guerres dans notre vie. 

Quand on se dispute avec des amies ou la famille, quand on rejet à quelque personne parce qu'il n'est pas comme nous, quand on fait choses par haine on est en train de commencer une petite guerre. 

Pour obtenir cette paix dans le monde entier, avant qu'on doit faire paix dans notre vies. 

Puisque la paix est tolérance, il est vouloir à toutes les personnes comme ils sont, il est accepter que personne ne pense égal mais tous sommes égales. 

Et si on n'est pas ainsi avec les personnes plus prochaines pour nous, comme est-ce qu'on veut donner paix à qui on ne connaît pas?

 

11 décembre 2010

Il n'y a pas temps.

La vie est un conte et dans ce conte le temps est le personnage central. Il n'import pas s'il est passe, présent ou futur, s'il y a beaucoup de temps ou peu de temps, seulement est important le temps qu'on a et ce que nous ferons avec lui.

Passe, présent et futur ne sont plus que points d'un chemin qu'on fait en allant et en retournant.

Quelquesfois un amour du passe se fait présent et il nous porte à un nouveau futur. Pour les choses importants comme l'amour il n'y a passe, présent ou futur.

Semplement il n'y a pas temps.

10 décembre 2010

En flottant dans le vent...

Quand tu ne sais pas où est-ce que tu vas, quelque chemin te peut servir.

On a peur des carrefours de chemins. 

On a peur de partir. 

On a peur de retourner. 

On a peur des questions, des répondes.

Si tu ne sais pas où est-ce que tu vas, le meilleur s'est laisser aller, comme en flottant dans le vent. 

Comme le poète Gonzalex Tuñon disait: "Pour qu'à chaque pas, un paysage, une émotion ou une contrariété nous réconcilient avec la petite vie et son petit mort." 

Pour qu'un jour on aurait quelques souvenirs, pour pouvoir dire "j'ai été dans ce chemin", pour pouvoir dire "j'ai eu cet amour", pour pouvoir dire" j'ai été dans ce village, j'ai eu cette amitié, j'ai fait cette chose". Pour pouvoir dire "j'ai été ici". 

Pour pouvoir faire tout cela, on doit ne pas avoir peur à partir et à retourner. 

Parce qu'on est dans un carrefour de chemins qui partent et qui retournent.

 Et si on ne sait pas où aller, on doit nous laisser par le vent. Le vent nous peut porter aux lieux insoupçonnés.

En flottant dans le vent, on a toutes les questions et toutes les réponses. 

Et en flottant dans le vent on ira où on doit aller.

 

 

9 décembre 2010

Le commence d'un voyage.

À partir de maintenant, on va commencer un voyage. Ce blog, comme j'ai dit sur mon antérieur message, parlera des valeurs, de l'environnement, de comme le monde est malade et, surtout, de comme nous devons solutionner ces problèmes et être meilleures personnes. Mais pour tout ce nous devons commencer un voyage avant. Un voyage pour nous questionner qui est-ce que nous sommes et pour arriver à l'intérieur de nous-même.

Et aujourd'hui, le voyage commence....

Les grands moments de la vie sont plein de questions.

Les grands rencontres de la vie sont plein d'interrogations.

Quand le grand moment arrive, on croit avoir réponde à toutes les questions. On croit qu'on est prépare. Déjà dans ce moment on croit que nous avons toutes es répondes et on agit.
Mais toujours apparaissent nouveaux questions.

Que, comme, quand, où et pourquoi. Ça sont les choses qu'on nous questionne toujours .

C'est important où est-ce qu'on est? Est-ce qu'on doit avoir une raison pour tout ce qu'on fait?

On vivrait en stopper avec questions. Où est-ce qu'on va? Quell'est le chemin? Quell'est le sens de tout? On a beaucoup de questions. ¿Et si je n'arrive pas? ¿Et si je ne t'encontre pas? ¿Et si je te perds?

¿Que? ¿Comme? ¿Où? ¿Pourquoi? Toutes ces questions ont une même réponse.

¿Qu'est-que ce? Un voyage.

Comme est-ce que je suis arrivé ici? En voyageant.

Quand? Pendant le voyage.

Où est-ce que je suis? Dans le voyage.

Pourquoi? Par le voyage.

En retournant chez nous, à la lune, à le centre de la terre ou à l'intérieur de nous-même. Tout c'est un grand voyage, du quel on sait d'où on a part, mais on ne sait pas où on arrivera.
Et ça c'est le plus amusant du voyage.
9 décembre 2010

Un petit changement sur ce blog.

Je sais que ce blog doit parler de la musique, mais je veux faire quelques changement. À partir de maintenant, ce blog parlera des valeurs comme l'amitié, le amour ou le spoir. Je spere que vous l'aime!

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